Commentaires sur Le pays des grottes sacrées : les enfants de la terre (tome 6) de Jean M. Auel

Inutile, je pense, de présenter cette série qui raconte la vie d’Ayla, une héroïne de la Préhistoire. Le pays des grottes sacrées est le sixième et le dernier tome de la saga, commencée en 1980. 
Série mondialement connue, les chiffres sont même vertigineux : 45 millions de livres vendus ! J’avais donc très envie de m’y frotter moi aussi, et de partager l’engouement de certains de mes proches. 
Je profitai donc de mes vacances pour commencer ce pavé …

Ayla, devenue mère depuis peu, semble enfin acceptée par les membres de la neuvième caverne, le clan de Jondalar, l’homme qui partage sa vie depuis pas mal de tomes maintenant … 
La chef spirituelle de ce clan aime beaucoup la personnalité d’Ayla, c’est pour cette raison qu’elle l’a choisie pour lui succéder. Mais avant, Ayla devra suivre une formation auprès de la zelandoni.
Cette formation sera alors l’occasion de découvrir de superbes grottes, mais aussi leurs secrets … 

Dès les premières lignes, j’ai compris que j’aurais à faire à une narration lente, faite de longues descriptions. Et les nombreuses pauses descriptives des grottes n’ont que confirmé mon impression initiale. 
Néanmoins, je ne suis pas du tout réfractaire à ce style. Si cela est bien fait, cela ne peut qu’accentuer l’imaginaire du lecteur …

Cependant, j’ai très vite été agacée par les personnages. L’intrigue se passe durant la Préhistoire, pourtant j’ai eu plus l’impression d’avoir à faire à des personnages contemporains. 
Evidemment, ils possèdent toutes les caractéristiques des hommes des cavernes physiquement, et leur mode de vie correspondat bien au temps préhistorique, mais leurs caractères m’ont semblé bien plus modernes que l’image d’Epinal que je me faisais de ces hommes-là. 
Malheureusement, cette impression de lire un récit moderne ne s’est guère dissipée au fil des pages. 
Je dirais même que je n’ai pu m’empêcher de faire de vilains parallèles  …

En effet, d’emblée, cette Ayla est vue comme une fille à part. Il faut dire qu’avec son loup elle fait un peu tache au sein des autres hommes des cavernes. Mais un peu comme Sully dans Docteur Quinn, Ayla aime son loup qu’elle a recueilli quand il était petit.
Ce qui nous amène à un autre point. Si Ayla se promène avec un loup, c’est parce qu’elle a éprouvé du remords après avoir tué la mère louve.
Ayla se révèle donc être une femme avec un coeur gros comme ça, remplie de compassion pour un pauvre animal livré à lui-même. Une Brigitte Bardot de la Préhistoire, donc. Mais pensez-vous qu’en ce temps-là, les hommes prenaient soin de la portée des animaux qu’ils venaient de tuer ?
Hum …
Je continuai donc ma lecture, quand je tombai sur un autre point peu plausible : les talents de guérisseuse d’Ayla.
Et voici comment je reviens à ma fameuse Docteur Quinn
Ayla est donc une femme vivant 30 000 ans avant notre ère, mais elle connaît tous les secrets du cerveau humain.
J’avais oublié que la médecine était très avancée à cette époque-là :
Beaucoup plus inquiétant était le liquide rosâtre qui coulait de son nez et de ses oreilles. Cela signifiait que le crâne était fracturé et que la substance qu’il renfermait était atteinte, ce qui augurait mal de la suite de l’enfant …
Et dire que notre héroïne en connaît autant chez les animaux : c’est vraiment une femme accomplie !

Surtout que loin d’être une femme très prise professionnellement (cette formation n’est-elle pas un travail ?), c’est aussi une femme comblée.
Parce qu’il y a un passage obligé et incontournable dans Les Enfants de le Terre, la fameuse scène de fesses.
Même si le narrateur ne revient pas sur l’épilation qui doit être des plus douteuses à cette époque, il n’épargne pas son lecteur de détails croustillants.
Admirez plutôt cet extrait :
– Tu es is belle, j’ai beaucoup de chance.
– Moi aussi j’ai de la chance, répondit-elle.
Le sein qu’elle venait de donner au bébé était retombé à l’ntérieur de sa tunique mais elle n’en avait pas renoué les lanières du haut. Jondalar le ressortit, fit courir sa langue sur le mamelon, l’aspira dans sa bouche.  
(…)
Une goutte de lait perla à l’un des mamelons, il la lécha.
(…)
Il ôta d’abord la longue tunique, prit le temps d’embrasser de nouveau le mamelon avant de dénouer les lanières qui entouraient la taille et retenaient les jambières. Il les fit descendre, promena ses lèvres sur l’estomac d’Ayla, glissa jusqu’au nombril, jusqu’à la toison pubienne. Lorsque le haut de la fente apparut, il y enfonça la langue, savoura le goût familier, chercha le petit bouton. Ayla poussa un cri de plaisir …

Lorsque j’ai lu cet extrait, je n’ai pu m’empêcher de poser un regard énamouré sur Jondalar ! Pensez donc, voici un homme des cavernes, un homme viril donc, mais loin d’être une brute sans nom au lit, le voici devenir un bel agneau qui cherche avant tout à contenter sa femme, en lui caressant son fameux « bouton ». Comme c’est mignon.
Fichtre, alors qu’à notre époque, certains hommes ne prennent pas le temps de trouver cette fameuse sonnette, voici que 30 000 ans avant notre ère, ce fameux Jondalar connaît toutes les astuces pour aller au 7ème ciel ! 

D’ailleurs, à ce propos, si Elisabeth Badinter lit ce blog, je lui déconseille ce passage, elle risquerait une apoplexie avec Jondalar qui boit du lait maternel … 

Bon, vous l’aurez compris, je n’ai pas du tout apprécié de lire en fait un roman sur la Préhistoire, mais dont les personnages sont beaucoup trop proches de nous. 

Finalement, on aimerait presque vivre durant la préhistoire tant ces hommes semblent parfois plus évolués que nous ! 

Certains me diront que je n’ai pas aimé parce que je ne connais pas le début de la saga, d’autres que j’aurais dû terminer le livre (mais au bout de 300 pages, je considère que j’ai déjà pas mal ri …). Mais pour avoir lu quelques fora dédiés à cette saga, il semblerait que ce 6ème tome déçoive de nombreux fans. 

Et vous, après l’avoir attendu neuf ans, quelles ont été vos impressions de lecture ? 

Auteur : Jean M. Auel
Editeur : Presses De La Cité
Date de parution : 24/03/2011
EAN13 : 9782258084001
Genre : romans et fiction romanesque
Traduit par Jacques Bommarlat
Nombre de page(s) : 681
23 €

La page facebook de la saga.  

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25 comments

  1. vilvirt says:

    Je dois dire que tous les points que tu soulignes sont en fait déjà présents dans les précédents tomes, et que oui, parfois Ayla et Jondalar paraissent bien trop évolués par rapport à l’époque… Mais j’aime bien cette autre vision que donne l’auteur de peuples pas si arriérés que ça, et tous les parallèles qui sont faits entre l’évolution de la pensée et les multiples découvertes de l’époque. Pour l’instant j’en suis au tome 4 (ou 5 ? je ne sais plus !) et je vais probablement me replonger dans cette série prochainement…

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  2. Stephie says:

    Je suis un peu fâchée néanmoins que tu puisses juger une série en n’en lisant que le dernier tome.

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  3. Sandrine(SD49) says:

    Ayant lu les autres tomes il y a trèèèèès longtemps je n’ai pas trop envie de m’y replonger ayant oublié ce qui s’était passé dans le précédent volume, je me souviens bien en revanche qu’il y avait des scènes assez chaudes. D’ailleurs à ce propos à la médiathèque de ma ville on trouve cette série au rayon ado cela me gêne un peu, je leur ai signalé mais elles m’ont dit que c’était pour grands ados, mouais…. pas sûr qu’elles vérifient vraiment qui va le lire !

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  4. Malorie says:

    J’ai le premier tome dans ma PAL, j’espère pouvoir commencer cette série cet été, pendant mes congés. Comme je suis une passionnée d’histoire, je me dis que cette saga devrait me plaire…

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  5. Didi says:

    J’ai lu les premiers tomes avec plaisir (et il y a longtemps… ) autant de plaisir que Jondalar peut en donner LOL…

    Sinon ben je n’ai pas forcément envie de lire le dernier tome parce que je me suis épuisée un peu dans cette saga de la préhistoire.
    Et puis oui les anachronismes sont embêtants je te l’accorde !

    Tu m’as bien fait rire en tout cas !
    Bisous

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  6. paikanne says:

    Personnellement, j’ai beaucoup aimé cette saga (je dois encore lire la deuxième partie du 5 et le 6). Ayla est depuis toujours présentée comme différente, entre autres par ses talents de guérisseuse, et c’est amené progressivement au fil de la série. Quant aux scènes plus « chaudes », hé bien je les ai aussi appréciées

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  7. Céline says:

    J’ai dévoré la série il y a une dizaine d’année. Je l’avais adorée. Si les aspects dont tu parles étaient déjà présents, aucun (à part les scènes de fesses, un peu trop nombreuses) ne m’avait vraiment gêné.
    J’ai sauté sur le dernier tome dès qu’il est paru … et je sèche. Ou il est bien plus mauvais que les précédents, ou mes goûts en matière de lecture sont plus exigeants, mais je n’ai pas réussi à accrocher. Je trouve que le style est beaucoup trop documentaire. Je ne suis pas contre un peu de descriptions, mais à condition qu’elle soit intégrée dans le récit, ce qui n’est pas vraiment le cas ici.
    Et les personnages, à commencer par Ayla, sont beaucoup trop manichéens. Les méchants sont totalement odieux, les gentils n’ont pas une once de défaut en eux… Un peu plus de complexité ne m’aurait pas gênée !

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  8. Marie says:

    J’ai lu les 5 premiers tomes de cette série lorsque j’étais ado. Je vais émettre un avis complètement sacrilège : j’avais l’impression de lire un roman préhistorique à l’eau de rose ! si si ! Du coup, je ne suis pas du tout tentée par ce dernier tome…

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  9. Leiloona says:

    @ Vilvirt :
    D’après ce que j’ai lu, elle colle de près à l’Histoire, et c’est vrai que ces passages-là sont sympas, mais non, niveau personnages ça ne collait pas. :/
    Et du coup si tu me dis que dès le premier tome ils sont ainsi, cela me refroidit … (Je voulais un jour découvrir tout de même le début de la saga …)

    @ Clara :
    Ah oui ? Personne de ton entourage n’a lu cette série ?

    @ Stéphie :
    Dans mon billet, je n’ai pas jugé la série, mais le dernier tome, d’où ma question finale pour les fans de la série … Et du coup le commentaire de Céline me conforte dans l’idée que ce dernier tome est vraiment en deçà des autres.
    Cela dit, si les personnages ont toujours été dépeints comme des hommes au caractère évolué, oui, cela me gênera aussi, si je lis le premier tome.

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  10. Leiloona says:

    @ Maman Marie :
    Merci !

    @ Sandrine :
    En rayon jeunesse ??? Wahou, ils vont adorer faire leur éducation sexuelle alors !
    De mon temps, je lisais les Angélique : plus soft !

    @ Malorie :
    Je l’espère aussi alors !

    @ Paikanne :
    Oui, d’après les résumés des autres tomes, j’ai bien vu qu’elle était à part. Mais le côté « évolution » doit être sympa aussi …

    @ Céline :
    Je te remercie pour cet avis !
    Le style est donc bien différent des autres tomes ! J’ai aussi lu qu’il y avait trop de redites des tomes précédents. Un peu comme si ce tome était une compilation, plus qu’une réelle avancée.

    @ Marie :
    Oh, tu sais, ce n’est pas moi que tu vas choquer … J’ai trouvé le style plat et assez soporifique.

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  11. Aproposdelivres says:

    Je suis comme toi Leilonna, je n’ai lu que le tome 6, après plusieurs semaines de lecture, le livre m’est tombé des mains…
    Et cela ne m’a pas donné envie de lire les premiers.
    Mon mari qui avait déjà lu les 4 premiers, n’a pas pu lui aussi terminer ce pavée de près de 700 pages.

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  12. Lisbei says:

    Hello !
    J’étais curieuse de lire ta critique, car j’étais une grande fan dans ma jeunesse (eh oui, j’ai lu cette série quand j’avais 11 ans, et je ne suis pas devenue une détraquée sexuelle … et à mon avis, il vaut mieux que les ados lisent les scènes osées des Enfants de la Terre pour faire leur éducation sexuelle plutôt que de regarder des pornos à deux balles à la télé … surtout les garçons, ils risqueraient d’apprendre beaucoup de choses … ça, c’est pour la personne qui est choquée de voir ce livre dans les rayons ados …). Franchement, je garde un excellent souvenir des 3 premiers tomes, que j’ai lus un certain nombre de fois … le 4ème entamait le déclin, et le 5ème signait le début de la fin, avec effectivement des personnages qui devenaient vraiment caricaturaux, mais les trois premiers valent vraiment le détour, ce serait dommage de passer à côté, à mon avis …
    Bises et bonne soirée !

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  13. anne says:

    nooon, on ne critique pas Dr Quinn ! C’est in-ter-dit !! )
    Sinon, les premiers tomes sont vraiment bien, pour de vrai, mais par la suite (à partir du tome 4, je crois) on sent vraiment qu’elle joue la montre et les espèces sonnantes et trébuchantes qui vont avec. Après, pour prendre la défense de ce pauvre Jondalar, c’est normal qu’il soit doué, c’est un initiateur. Parfaitement. Dans son clan, c’est lui qui déflorait toutes les jeunes filles et leur apprenait le plaisir, alors tu penses, la sonnette en question, il doit maîtriser.
    Pour la scène avec le lait maternel, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à Ross dans Friends.

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  14. Leiloona says:

    @ Propos des livres : Ah, toi, aussi ! J’ajouterai ton lien, alors !

    @ Lisbei :
    Je suis d’accord avec toi pour ce qui est des films pornographiques qui donnent vraiment une sale image de la femme et des relations entre les hommes et les femmes. Cela dit, je ne sais pas si du coup l’adolescent commencera vraiment cette série pour parfaire son éducation sexuelle.

    Je lirai sans doute le premier tome, mais pas tout de suite, histoire de repartir en terrain vierge !

    @ Anne :
    Aaaaah mais attends, j’ai vu toute la série, donc non je ne peux pas critiquer !
    Décidément, tout le monde s’accorde à dire qu’après le 4ème tome, l’intérêt baisse !

    Sinon, merci de réhabiliter Jondalar ! Je ne savais pas qu’il avait pour fonction de déflorer les jeunes filles dans son clan ! Tout s’explique ! (Voici une fonction qui devait faire de nombreux jaloux !)

    Quant à la scène avec le lait maternel, c’est clair que lui n’était pas le descendant de Jondalar, vu sa tête avec le biberon de lait maternel.

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  15. Canel says:

    Ah ah (intrigué et intéressé, ce ah ah, pas encore de pâmoison ) : les « grottes sacrées », le titre a donc un sens largement (heum, pardon pour le « largement ») métaphorique, donc !
    J’ai tjs boudé cette série, mais l’extrait que tu cites m’interpelle, je dois dire ! J’ai tout à apprendre de la lingerie sexy des femmes préhistoriques, visiblement !
    Une jolie histoire d’amour préhistorique que j’avais aimée : ‘Soleils d’ocre’ de Mylène Mouton, éditions Gaïa.

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  16. Leiloona says:

    @ Canel :

    Hé hé tu me fais rire ! L’extrait n’est pas vraiment représentatif du livre. Cet extrait-là doit se situer aux alentours de la 200ème page, et le livre en comporte 600 … Et 600 pas vraiment aérées si tuvouackejvedire … Aussi si l’intérêt est les scènes chaudes, je ne sais pas si tu es gagnante !

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  17. Méloë says:

    C’est une série qui me tente beaucoup étant préhistorienne, mais je n’arrive pas à franchir le pas, de peur justement d’être agacée en raison de certains anachronismes et/ou abérations scientifiques.

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  18. Karine:) says:

    Je pense que j’ai lu les 5 premiers, quand j’étais ado. J’ai dû les lire en 5 jours et j’avais adoré, malgré que oui, les personnages sont déjà modernes, même si ça se passe pendant la préhistoire. Les trois premiers sont vraiment ceux que j’ai préférés. Bizarrement, je n’ai jamais eu envie de lire la suite…

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  19. Canel says:

    Bon, c’est pas tout ça, mais je vais m’occuper de réserver pour des vacances à Lascaux…
    Entrée de la grotte contingentée ? pffff, même pas peur ! j’arrive avec mes porte-jarretelles en cuir de mammouth pour vaincre les résistances des gardiens les plus zélés… hop !
    Ah zut, y a plus de mammouths !? En cuir de renne, ça devrait pas être mal non plus… Prochaine étape, donc : approcher le Père-Noël… C’est quoi, son trip, à lui ???

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  20. mtislav says:

    Je viens de commencer le dernier tome. Ayla est un peu Barbarella, tout ce qui est écrit dans ce billet est vrai (même si je ne connais pas votre Dr Queen…). D’accord avec Lisbei sur l’âge pour lire une telle série. C’est tour à tour amusant, ridicule, miroir de nos préjugés et stéréotypes contemporains, mais aussi évocateur. Je viens de lire la scène où un conteur s’approprie l’histoire de « l’adoption du loup d’Ayla », c’est assez adroit. Je redoutais un peu de reprendre cette série mais que ne donnerait-on pas pour retrouver l’héroïne et l’épopée. Salée et sucrée…

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  21. Missbouquinaix says:

    J’ai lu aussi cette série quand j’étais ado, il y a 10 ans et je me souviens que j’avais bien aimé. Mais bizarrement, alors que je n’y ai plus retouché depuis, les divers points que tu soulèves éveillent un écho en moi … ce qui ne me donne pas du tout envie de lire le 6e tome ! Trop peur d’être déçue, je reste sur mon sentiment premier … en tout cas, ce n’est pas la série du siècle …
    Merci pour ton article qui m’a décidée à fuir ce 6e tome ! (un de moins dans ma LAL, ouff …)

    Bonne année !

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  22. gou says:

    J’ai lu tous les tomes. Alors autant j’ai adoré les 5 premiers mais le dernier (les grottes sacrées) ma sacrément refroidie. Beaucoup trop ésotérique. 25 chants de la mère en entier, beaucoup de répétitions (descriptions des personnages et des animaux : 20 fois dans le même tome…) et des anachronismes à gogo.

    Super chiant à lire, on dirait du copier coller. Les éditeurs auraient pu le relire avant de la publier.

    Si on retire toutes les répétitions, le livre fait 150 pages, pas plus.

    Je suis vraiment déçue.

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