C’est un plaisir de vous lire, de constater à quel point une même photographie donne des textes si différents les uns des autres !
Voici la nouvelle photo, toujours de Fred Hedin !

C’est un plaisir de vous lire, de constater à quel point une même photographie donne des textes si différents les uns des autres !
Voici la nouvelle photo, toujours de Fred Hedin !
Texte planifié pour samedi ! Merci à toi pour cette reprise de l’atelier.
https://leslecturesdantigone.wordpress.com/2023/01/28/latelier-decriture-n424-de-bricabook/
Bravo pour ce texte fort, où est superbement décrit l’héritage de paradoxes existentiels.
Merci Kloud pour ta lecture !
Très beau texte dont beaucoup d’éléments me rappellent certains souvenirs. Bravo
Merci à toi.
Magnifique texte, si sensible, très bien écrit et qui pose tant de questions. Un bon moment de lecture !
Oh merci ! 😉
texte planifié pour samedi matin, encore merci d’avoir repris le jeu!
https://adrienne414873722.wordpress.com/2023/01/28/x-cest-linconnu-101/
titre: L’inconnu
Ton texte est vraiment raccord avec la photo. Bravo. Nuit, éclairage, bâtiment, musique, puis silence…
Le texte est superbement raccord avec la photo. La nuit, l’éclairage, le bâtiment, la musique, puis le le silence… Ambiance.
Très beau texte avec ces volets clos qui interrogent forcément.
Comme c’est triste de penser qu’un jour tous les volets se ferment… malheureusement
Tombée du lit, alors je dépose ici, dans la nuit, (c’est de circonstance) mon texte inspiré de la photo de Fred Hedin.
Enfant, la nuit l’effrayait. Elle ne pouvait s’endormir sans avoir vérifié que toutes les portes de la maison étaient fermées, transformant celle-ci en forteresse contre l’obscurité. Cette frayeur, liée à une trop grande sensibilité selon ses parents, n’était conjurée que par des rituels magiques de son invention : lit bordé extrêmement serré, pied gauche lové dans le creux du genou de façon que ses jambes forment le P de protection, couette remontée jusqu’au bout du nez. Même ainsi barricadée contre le noir, elle ne sombrait que d’un œil dans le sommeil.
Pour l’endurcir, son père s’était fait le héraut de soigner le mal par le mal. L’hiver, il la chargeait d’aller chercher le bois pour la cheminée dans le fond du jardin. Il attendait toujours que les ténèbres aient envahi les alentours pour s’apercevoir que le panier de bûches était vide. L’enfant n’était pas dupe, mais savait qu’il ne servait à rien de contester la parole paternelle. Ce temps perdu en arguties ne faisait que retarder le moment de quitter la maison et de plonger, le cœur affolé, dans la nuit. Elle avançait à tâtons, les sens en éveil, attentive au moindre craquement « Ce n’est que le vent qui s’amuse à jouer des castagnettes avec les branches du peuplier ! », inquiète au moindre frôlement contre ses jambes « Ce n’est qu’une renarde qui flaire sur mon pantalon l’odeur des crêpes de Maman ! ». Au retour de son expédition nocturne, elle faisait une pause dans la lumière retrouvée du garage. Avant d’affronter le regard de son père, elle attendait que son souffle s’apaise. Elle se composait un visage impassible pour ne pas essuyer les sempiternelles remarques sur sa « trouillardise ».
A présent, la nuit est son refuge. Quand tout un chacun est claquemuré derrières ses volets clos, elle marche dans les rues désertes et à chaque pas, sa respiration s’apaise. Dès que son compagnon est endormi, elle se relève avec mille précautions, enfile rapidement les vêtements déjà préparés dans la salle de bain et quitte leur appartement. Au-dehors le silence l’accueille. A l’intérieur, elle laisse, comme des oripeaux dont on se débarrasse, les cris qui ont émaillé la journée.
Le noir n’est jamais complet en ville. Elle avance tranquillement, guidée par la lumière des lampadaires comme autant de cailloux blancs. L’obscurité lui est devenue familière, la nuit accueille ses confidences avec la discrétion d’une amie fidèle. L’appartement jamais suffisamment bien rangé, les repas trop insipides ou trop épicés, sa tête de presque quinquagénaire triste à pleurer « Si j’avais l’argent, je te paierai un lifting ! », les coups qui pleuvent sur son corps, exutoire de toutes les frustrations. Elle marche et lui reviennent en mémoire les paroles du conte Barbe bleue. « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? »
La nuit ennemie, devenue complice dans la deuxième partie. Un beau texte triste qui dit beaucoup.
Oh cette fin si ! Grosse empathie avec ton personnage sinon, j’étais dedans.
Elle est belle ta narratrice, de petite fille peureuse qui affronte la raillerie paternelle à la femme qui s’échappe d’un mari tyrannique en reprenant sa liberté.
La fin révèle un drame, mais la précoce initiation magique a été salvatrice pour le sursaut d’affection qui lui reste dans ces balades solitaires. La peur de la nuit devient une attente providentielle.
Comment transformer sa peur de la nuit pour s’en faire une complice quand la vie est trop triste…
Emouvant.
Un très beau texte. La dureté du père prend un peu de sens. Il aura aidé sa fille à lutter contre sa peur du noir et à en faire un exutoire. Il ne lui a cependant pas donné la force de partir en cas de danger…
Ohala… puissant ! J’ai commencé par détester ce père qui ne la prenait pas dans ses bras pour la protéger, puis je me suis rassuré en la voyant apprivoiser ses peurs mais ce n’était qu’un échappatoire… avant la chute terrible. Bravo !
Ma participation de la semaine est en ligne. Bon week-end à tous
https://www.milleetunefrasques.fr/sur-les-paves-les-pas-une-photo-quelques-mots/
Ton texte exprime la colère. Je ne peux qu’y souscrire en tant que mec. Puissions-nous tous crier assez fort pour chasser les démons.
Merci d’être de ces hommes prêts à botter les culs des démons 😉
Comme ton texte est précis, chirurgical, pour poser des mots, des vrais mots, sur cette ignominie dont notre société a tant de mal à se débarrasser. Tu as raison de le dire, ici, partout, toujours, comme nous devrions tous le faire.
Merci beaucoup pour tes mots sur les miens
Nightly Job Blues
Mes talons sur le macadam
Ne frappent qu’une note de gamme
Pour accompagner celles de mon coeur
Qui fredonnent « No Shoes » d’Hooker.
Le rythme blues résonne en moi
Depuis que je suis loin de toi.
Je pars chanter au bar « Le Jo’ »
Où accolée à mon piano
Pour le public du samedi soir
Je dois crier mon désespoir.
Aujourd’hui je suis bien seule
La pauvre Billie dirait « single »
Les cabarets ne fument plus
Les brouhahas se sont tus
Restent des bobos fatigués
Et leurs conversations feutrées
Qui pour pas mal d’euros
Sirotent leur mojito.
Je pars chanter ma solitude
Mon espérance ma lassitude
Mes talons sur le macadam
Battent la mesure, cadencent mon âme
J’entends leurs voix « Il reviendra !
D’ores et déjà ouvre tes bras
Pour ton mari pauvre garçon
Qui va sortir de prison.
Il défendait la liberté
Et l’injustice l’a fait payer »
J’ai aimé cette ambiance mélancolique.
Du coup, j’ai écouté la chanson No shoes, que je ne connaissais pas. Superbe et parfaitement en accord avec l’atmosphère de ton beau poème !
Belle performance 😉
Quel magnifique portrait de femme, quintessence de toutes les chanteuses qui, quel que soit le style de musique, parlent de solitude et d’amour brisé.
originale cette chanson désabusée et rythmée avec la nuit
J’ai été aussi écouter (découvrire) cette chanson bien triste qui décrit des situations qui redeviennent actuelles…
Ton texte est un beau portrait de femme courageuse.
Beaucoup de tristesse dans ton texte, dans la description du cabaret notamment. Bravo pour les rimes.
Superbe dans l’intensité croissante des vers qui mènent à la chute. Bravo !
C’est beau, c’est triste, c’est mélodique. Merci pour ce moment
Bonjour à tous, mon texte Révolte nocturne est à retrouver ici https://marinadedhistoires.wordpress.com/2023/01/28/jeu-numero-31/
effectivement ton personnage en a vraiment marre, j’aime bien son côté révolté.
Merci eirenamg
C’est drôle. Bien mené. Un côté Blier dans « Buffet Froid » : « J’ai horreur de la nature : tout est vert ! ». Bravo, j’aime beaucoup.
Merci beaucoup Kloud
Elle a bien raison : il ne faut se laisser marcher sur les orteils, non mais des fois ! J’ai beaucoup aimé ce texte « énervé » 🙂
Merci Tergit, dans mon esprit, le personnage était un homme, peut-être à cause de la silhouette sur la photo…
Bonjour. Voici mon texte. Bonne lecture et belle journée.
Il est des oiseaux de nuit
Qui préfèrent vivre
À contre-jour,
À contre-temps.
Il est vrai qu’une tout autre ambiance
Se crée à la nuit tombée.
Un silence plus ou moins bruyant
Émerge des bâtiments.
Le temps semble ralenti,
Les ombres glissent
Sur le pavé et filent
À travers la nuit.
Certains détails apparaissent
Et d’autres nous échappent.
Se jouant des couleurs de la nuit,
L’œil doit se faire plus aguerri.
Mais attention à la nuit noire
Qui enveloppe… sans oublier que
Parfois, il suffit d’un réverbère
Pour revenir vers la lumière.
Tes deux dernières phrases concluent magnifiquement !
C’est vrai que passer du jour à la nuit, c’est un peu comme changer de planète ! Ton joli poème exprime tout à fait bien cela !
Joli ! Surtout la fin 😉
joli texte sur l’ambivalence de la nuit et sur l’espoir qui renait
C’est très joli à lire à haute voix. Bravo pour cette alternance lumière-obscurité qui donne beaucoup de poésie au texte.
Oh comme je l’aime ce réverbère qui permet de sortir de la nuit…
Il est bien vrai qu’un même endroit de jour ou de nuit offre des sensations très différentes. Merci à toi.
Très mignon !
Joli texte qui rend un bel hommage aux noctambules, à ceux qui apprécient l’arrivée des ténèbres.
Bonjour tout le monde. Je passerai vous lire plus tard…
Ma participation est sur https://photonanie.com/2023/01/28/brick-a-book-424/
Bon week-end.
bruit de la nuit, c’est drôle j’ai un chat noir aussi dans mon histoire. Bon samedi.
J’adore la chute !
Bonjour à tous,
Voilà ma petite production du jour, bonne lecture http://eirenamg.canalblog.com/archives/2023/01/28/39794628.html
Bon samedi
Bon week-end à tous,
Nous en avions beaucoup parlé, j’avais besoin d’être sûre de son envie avant de franchir le pas. Ce matin il est parti au travail comme d’habitude, en m’embrassant et me disant qu’il avait hâte d’être à ce soir, de me retrouver. Il aurait dû s’apercevoir que j’avais une bonne quinzaine de jours de retard mais ça n’a aucune importance, les hommes sont comme cela paraît-il, ou du moins lui est comme ça. Je l’ai regardé par la fenêtre s’éloigner jusqu’au coin de la rue, pleine du bonheur de l’imaginer en père.
Je me suis habillée, j’ai dévalé l’escalier avec un sourire béat, et les yeux pétillants je suis rentrée dans la pharmacie. J’ai payé les quelques euros pour ce petit bout de plastique qui allait peut-être me confirmer ce que je présentais. Deux minutes plus tard j’étais assise sur les toilettes, j’ai bien dû lire la notice une dizaine de fois pour être certaine que j’allais tout bien faire, je me suis lancée, et j’ai reposé le test sur le rebord de la baignoire. Au bout d’à peine trente secondes un premier trait bleu est apparu, suivi d’un second. J’étais heureuse, j’ai même pleuré de bonheur.
Mon téléphone s’est mis à sonner, c’était lui. Il m’appelait parce qu’il avait oublié sur la table de la cuisine la liste des courses à faire en rentrant. Sachant que je déteste trainer dans les magasins Il a été surpris que je lui dise que j’allais m’en occuper, mais rien de plus. Nous avons encore échangé quelques mots puis avons raccroché après un échange de « Je t’aime » qui prenaient une amplitude nouvelle pour moi.
J’ai passé une journée pleine d’excitation désordonnée, je survolais le sol, le monde, l’univers. La pendule du salon avançait comme une tortue, puis à un moment elle s’est enfin décidée à sonner vingt heures. Moins de cinq minutes plus tard j’ai entendu sa clé glisser dans la serrure, j’étais assise sur le canapé devant deux coupes de champagne. Il est rentré dans la pièce, m’a embrassé comme d’habitude, m’a demandé ce que nous fêtions puis s’est assis à côté de moi.
Sur la table un petit paquet doré était pour lui, il l’a pris, l’a ouvert et ses yeux se sont embrumés. Je sentais les larmes me monter aux yeux, mon cœur galopait. J’étais sûre de notre bonheur, j’avais imaginé toute la journée qu’il allait me prendre dans ses bras, que nous allions probablement pleurer ensemble, que les mots délicieux allaient se bousculer, que nous allions même surement faire l’amour dans un élan de désir incontrôlable.
Il est resté de son côté du canapé. Il a reposé la preuve de notre nouvelle vie en construction. Il n’osait pas me regarder, ne trouvait pas le moindre mot à dire, semblait agacé. J’ai tenté de m’approcher de lui, en murmurant que je comprenais que ça pouvait provoquer un choc mais que c’était merveilleux. Je l’ai entouré de mes bras, il s’est laissé faire, puis s’est dégagé.
Il a repris son souffle, sa phrase a commencé par « Bérénice… », d’habitude il ne m’appelait jamais par mon prénom quand nous étions seuls, puis s’est perdu dans une série de mots alambiqués dont je n’ai compris que quelques bribes : « c’est trop tôt », « je ne suis pas prêt », « depuis quand tu as arrêté la pilule ? », « je ne voulais pas, moi », « tu es égoïste » et tant d’autres choses désagréables que mon cerveau se refusait à comprendre. Il s’est levé du canapé, s’est planté devant moi et droit dans les yeux m’a dit « ce môme c’est ton problème, je n’en veux pas, tu te débrouilles ».
Mon coeur s’est arrêté net, je n’avais plus la force de répliquer. Je me suis péniblement levée, j’ai attrapé mon téléphone, j’ai titubé jusqu’au porte manteau de l’entrée, j’ai enfilé mon manteau beige, il n’a même pas essayé de me retenir. Je suis sortie de l’immeuble dans un état second, j’ai marché quelques mètres et j’ai commencé à entendre mes affaires s’envoler par la fenêtre de son appartement. Mon téléphone a sonné, c’était Samantha. J’ai décroché, en entendant ma voix elle m’a demandé ce qui n’allait pas. Entre deux sanglots j’ai réussi à dire « je suis enceinte », « Kevin est un salaud ». Elle m’a juste dit « Ne bouge pas, j’arrive ».
Elle sera là dans un quart d’heure, qu’est-ce que je peux faire d’autre à part l’attendre plantée dans les pavés de cette rue immonde ? Remonter à l’appartement lui arracher les yeux ? Hurler ma douleur au monde ? Non, ce serait inutile et je dois garder mes forces pour cet enfant qui n’aura pas de père. Pauvre enfant, pauvre mère.
Holala, ton histoire m’a retournée ! Quel talent pour raconter cet épisode si dur de la vie d’une jeune femme. Bravo !
Oh le salaud! Tu amènes tellement bien l’apothéose du partage heureux et patatras ce « toute la liste des insultes du capitaine Hadock! » qui considère que c’est à la femme de se débrouiller? Il ne se sent même pas un peu concerné?
Et dire que ça existe des mecs pareils!!!
Ton texte est cruel, mais fort bien écrit. Le lecteur passe de l’enthousiasme à la révolte. Kevin a dû aller loin dans son hypocrisie pour laisser Bérénice croire qu’il aurait été heureux d’être père… Bravo. Ravi de te lire à nouveau.
Bérénice a bien raison de ne pas remonter, même pour lui arracher les yeux. Il le mériterait sans doute mais mieux vaut qu’elle aille vivre son bonheur sereinement, ailleurs. Un texte poignant, bravo.
Quand les désirs de l’une ne trouve pas d’écho dans celui de l’autre… Terrible histoire, tu relates bien la sensation d’euphorie puis le choc du rejet vécu par Bérénice.
oui la photo se prête bien à un texte poignant comme le tien!
Quel texte, on passe de l euphorie aux larmes, très belle progression
Bonjour
Tout d’abord je vous remercie pour vos messages de la semaine dernière. Je n’ai pas osé répondre à tous pour ne pas encombrer le site mais vos mots m’ont vraiment touchée. Bonne lecture à vous.
Ça m’a réveillé en pleine nuit.
Ça sonnait comme une évidence.
C’était le moment.
C’était maintenant !
Dans la peine ombre
J’ai enfilé des baskets, les seules que j’ai.
J’ai attrapé une veste chaude.
Je suis sorti !
Sans papier,
Sans clé,
Sans me retourner
Ni même savoir où aller.
Mon corps me dictait d’avancer
De partir, de Tout quitter.
Quand Tout se résume à rien
Les risques sont mineurs.
Ni femme,
Ni enfant,
Pas de job,
Juste ce toit vétuste au dessus de ma tête.
Voilà plusieurs jours déjà,
Je ne compte plus.
La nuit, je marche.
Le jour, je me tapis sous un auvent.
Toujours un passant pour partager une pièce,
Un bout de pain,
Et même les grands jours
Un mot ou un sourire.
J’allonge les kilomètres,
Je ne sais pas où ils me mèneront
Mais je respire mieux.
Mon cœur reprend espoir.
« L’enfer c’est pas d’échouer
c’est de pas tout faire pour essayer. »
G Faye, GCM, B Mazué
J’aime beaucoup ton texte, la photo donne effectivement cette forte impression de départ définitif !
Merci beaucoup Laurence.
et ici je pourrais remettre le même commentaire, c’est encore un texte poignant qui colle bien à la photo!
Merci Adrienne.
Une dure réalité mais où l’on sent poindre une lueur d’espoir au bout de la route…
Il n’a plus que ça l’espoir alors… Merci à toi.
Quand je pense que tu pensais ne pas oser t’y remettre… on y aurait perdu. Merci encore de partager tes mots et ta sensibilité
Trop mimi. C est grâce à toi. Merci de m’encourager.
Je t’encourage par amitié. En revanche, je te te félicite par sincérité 😉
Un texte efficace et met en lumière le besoin de tout lâcher. Et très bon choix de fin avec la citation de la chanson on a pris le temps( j adore cet album) ,son errance est liberté et choix.
Merci.J’aime beaucoup l’album et l’album-livre qu’ils ont réalisé avec est vraiment top
Un beau texte. Bravo. Guider soi-même sa vie, fut-elle rude, laisse le goût secret d’une ultime richesse.
Merci Cloud. Oui tant qu on a la force d’avancer, peut être que rien n est perdu.
Un personnage libre qui connait le prix de la liberté. Très agréable à lire (petite mention particulière à « Peine ombre »).
Merci pour ton retour. J avoue qu au départ c était une simple grosse faute d orthographe et après je me suis dit qu elle était bien venue finalement…
bonjour à tous,
voici le lien vers mon texte inspiré de la photo de la semaine
https://palettedexpressions.wordpress.com/2023/01/28/un-couple-sans-histoire/
Bien vu et bien écrit. C’est vrai. On oublie souvent que derrière chaque volet fermé, se cache une vie solitaire ou partagée qui peut être une tragédie ou une comédie.
Comme tu as raison de dire que derrière les volets clos il se passe des choses que nous n’imaginons pas, même pour « un couple sans histoire ». Puis un jour, pour certains, malheureusement pas pour tous, un vent de liberté permet de s’échapper. Merci de l’avoir écrit si justement.
Bonjour Leiloona,
Ma contribution, un peu en retard (comme d’habitude).
https://floconsdebonheur.wordpress.com/2023/01/30/la-nuit-verte/
Un peu tardivement, mais, en fin de compte, je me décide à produire un acrostiche pour ce visuel de Fred Hedin.
PoLétiquement vôtre,
tiniak
http://niak65poletique.canalblog.com/archives/2023/02/08/39807161.html
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inspiré de “Melmoth, ou l’Homme-Errant” de Charles R. Mathurin*
il allait, couvrant de son col sa nuque roide
mains en poche et le regard terne
en de poussiéreuses nuées retombant vite…
Oh, pas pour la nouvelle année ni “ses beaux yeux” !
mais que Pluie revienne à sa suite
“Quelle histoire ! Elle dure tant, la saison sèche !”
“Et lui, nos pluies dans son manteau ?!”
abandonnant l’Humanité à sa sébile
et la fermer de son couvercle
l’éternité promise à lui, en cette terre
à condition d’en lever l’eau
*Phare des “romans terrifiants” qui fleurirent au XIXème siècle.
Une fresque à la “Retour vers le futur” avant l’heure
qui a marqué mes jeunes et savoureux secrets
moments de lecteur.